Cochic, les accessoires de luxe socialement chic !

Cochic, le luxe socialement chic !

Quand, au printemps 2020, mes contrats en photographie ont été annulés ou reportés, j’ai eu envie d’aller à la rencontre d’une entreprise qui faisait face à la tempête Covid-19 avec aplomb. Un appel à ma cellule du Réseau des femmes d’affaires du Québec a suffi pour me diriger vers Patrizia Casubolo, fondatrice et directrice générale de COCHIC !

COCHIC, c’est en fait la marque phare de l’entreprise québécoise Gloria Internationale Inc., fondée en 2010.  La maison crée des accessoires mode de haute qualité et innovants. Ses cravates faites mains, par exemple, et son réputé bouton extenseur, sont brevetés.  Les boutiques de luxe de par le monde se les arrachent ! D’autant plus que la maison crée aussi des lignes ou des produits spécifiques pour ses clients distributeurs.

Or voilà ! L’activité commerciale mondiale étant au ralenti, de BtoB (business to business) l’entreprise a dû s’initier au modèle d’affaires BtoC (business to consumer). Pour commencer, bien sûr, en développant la vente en ligne.  Mais d’autres défis l’attendaient.  Et ce, tout en s’accrochant à sa volonté d’être socialement engagée.

S’ajuster, changer son modèle d’affaires et y gagner  !

Le défi : produire des masques au Québec

Jusqu’à ce jour, COCHIC créait des accessoires, dessinait des motifs pour ses tissus, etc. et les faisait fabriquer à l’étranger, en Italie et en Thaïlande, notamment.  Patrizia s’assurait ainsi des tissus de la meilleure qualité possible. Comme elle tient à ce que, socialement, son entreprise ait un impact positif, elle vérifiait toujours que les conditions de travail chez ses fournisseurs soient équitables.  Elle pouvait aussi favoriser des sous-traitants employant des personnes handicapées pour qui la manutention fine est une bouée de sauvetage.

Alors quand, naturellement, il fallu imaginer une ligne de masques hygiéniques, la dessiner allait encore.  Mais trouver le tissu, ici, au Québec, et le faire imprimer pour la collection maison (un masque de trois épaisseurs, avec tissu anti-bactérien), découper, sérigraphier pour les commandes d’entreprises et coudre, ce fut une autre paire de manches (pour ne pas dire de boutons de manchette!!!).  Mais la quête de Patrizia et de son équipe fut fructueuse et, déjà, COCHIC est en mesure de satisfaire toutes les demandes et fournit aujourd’hui du travail à des entreprises ou artisans québécois !

En fait, non seulement Patrizia a-t-elle réussi à garder tout son personnel à Montréal à l’emploi, mais elle a créé un poste permanent de maître-couturière et embauche deux couturières contractuelles pour les commandes de moins de 10 000 masques.  J’ai pu aller observer la découpe, faite dans le secteur Chabanel (au District Central) et la sérigraphie,  faite de façon artisanale par une entrepreneur qui, devant fermer son entreprise pendant la pandémie, a conservé quelques machines dans un atelier, près de sa résidence.  C’est l’époque débrouille !

Ainsi, COCHIC, en pivotant, a su donner à ses masques la valeur sociale qui lui est chère.

Créer des lignes d’accessoires pour des ambassadeurs extra !

Pour faire connaître COCHIC, ses masques et accessoires de mode directement aux Québécois, l’entreprise de mode peut compter sur deux ambassadeurs dynamiques : Sophie Mongeon, avocate, conférencière et chroniqueuse et Gilbert Delorme, ancien joueur de la Ligue nationale de hockey (Canadien de Montréal, Nordiques de Québec, notamment) et animateur à la radio (91.9 Sports).

Ces ambassadeurs auront leur propre collection “COCHIC par Sophie Mongeon” et “COCHIC par Gilbert Delorme”. Les collections présenteront leurs articles coup de coeur ainsi que des accessoires créés et dessinés pour eux, par COCHIC.

Au profit d’organismes de bienfaisance de leur choix !

Contribuer socialement étant dans les gênes de l’entreprise, COCHIC versera 10% de ventes de la collection de Sophie Mongeon à l’organisme de bienfaisance Leucan dont la mission est de favoriser le rétablissement et le mieux-être des enfants atteints de cancer et de leur famille.

De son côté, Gilbert Delorme est un homme généreux et de grand coeur. Avec sa femme, ils forment une famille d’accueil d’urgence, toujours prêts à accueillir des enfants. Sur la photo, il porte une cravate dotée d’un mécanisme breveté qui permet d’accrocher la cravate au bouton de la chemise qu’il porte. La cravate reste ainsi toujours en place sans besoin d’une pince à cravate; elle fait partie des accessoires que COCHIC est en train de développer pour la collection par Gilbert Delorme.

COCHIC versera 10% de ventes de sa collection à l’organisme de Longueuil qu’il soutient depuis déjà 21 ans, soit Action nouvelle vie.

Le ralentissement économique lié à la pandémie a fait disparaître des sources importantes de revenus dont dépendent les organismes de bienfaisance. COCHIC est heureux de contribuer de cette façon aux efforts d’entraide de ses ambassadeurs. C’est le côté socialement chic de COCHIC !

À propos

Nathalie photographie, c’est Nathalie Choquette.

Issue des milieux touristique, culturel et communautaire, Nathalie s’est convertie à la photographie professionnelle en 2016.  Elle met son talent en photo-reportage au service des PME, des OBNL et des artisans de tous milieux. Consultez la page Qui sommes-nous? pour en savoir davantage!

Nathalie estime que c’est en utilisant leurs propres images que les entrepreneurs, organismes et artisans peuvent sortir du lot, maximiser leur visibilité et la qualité de leur référencement sur Internet.  En bâtissant votre propre banque d’images avec Nathalie, vous illustrez vos métiers, vos gens, vos produits et services, tout en communiquant les valeurs qui vous tiennent à cœur. N’hésitez pas à visiter le portfolio reportage/métiers afin de visualiser quelques-uns de nos clichés et à nous contacter pour plus de détails.

Photos: Nathalie photographie